Le tortionnaire du chat brûlé vif et jeté par la fenêtre du 7ème étage condamné à un an de prison ferme.
A Nice, en janvier 2016, M. L. entame une violente dispute avec sa concubine. Pour l’obliger à lui obéir, il saisit son chat, l’asperge d’alcool à brûler et y met le feu. L’animal, terrorisé, se cache sous le canapé qui commence à prendre feu lui aussi. Pour éviter que l’appartement ne parte en fumée, l’homme saisit à nouveau le chat et le jette par la fenêtre du septième étage.
Après tant de sévices, l’animal est toujours vivant. Le vétérinaire réquisitionné par la police a dû, à son arrivée sur les lieux, euthanasier l’animal pour mettre fin à ses souffrances.
L’Association « Les chats de Stella » avait alerté la Confédération Nationale qui s’est constituée partie civile.
La Cour d’Appel d’Aix a confirmé le jugement de première instance : le prévenu écope de deux ans de prison dont un avec sursis, d’une mise à l’épreuve de deux ans, d’une interdiction de détenir un animal domestique et devra régler des dommages et intérêts aux associations de protection animale.