Les Vagabonds du 52
L’association Les Vagabonds du 52 existe depuis le 2 septembre 2016.
Elle est exclusivement composée de bénévoles ne comptant ni leur énergie, ni leur temps, conjuguant leur vie privée, leur activité professionnelle et leur engagement auprès des chiens et des chats, certains depuis plus de 10 ans.
Leurs engagements :
Limiter la prolifération féline (source de souffrance, maladie, naissance, nuisances… ) Avec des campagnes de stérilisation et d’identification :
– par le biais de 30 millions d’amis, en partenariat avec les communes volontaires.
– Avec les particuliers dits « nourrisseurs » (prêt de cage trappe, nourriture, conseil,… )
– avec les particuliers en les informant des biens faits de la stérilisation/castration (maladie, naissances, nuisances olfactives et auditives,…) et l’obligation de l’identification de leurs animaux (légalement, par sécurité en cas de perte et de sa mise en fourrière,…)
Ne pas avoir de secteur géographique pour les prises en charge.
Il n’y a pas non plus de sélection de handicap, âge, couleur, etc … Nous donnons juste la priorité aux urgences « vitales » si nécessaire. Sinon une liste d’attente est mise en place par ordre chronologique des demandes.
Mettre tout en œuvre pour retrouver les propriétaires des animaux amenés en fourrière.
Par la recherche d’une identification et par la diffusion d’annonces par affiches, sur internet, sur Facebook et dans la presse locale.
Pas d’euthanasie dite de « confort ».
Les taux d’euthanasie sont très bas et cette solution n’est étudiée qu’en dernier recours, pour les animaux malades en fin de vie, lorsque toutes les autres possibilités ont été écartées.
Lorsqu’un animal arrive malade, son état est évalué avec un vétérinaire et les soins nécessaires sont apportés. Si l’opération est lourde, un appel aux dons est effectué
Le refuge est en contact avec d’autres associations qui acceptent de prendre sous leurs ailes les cas les plus difficiles.
Lorsque le temps de fourrière d’un animal est écoulé (8 jours ouvrés après la date d’entrée), l’animal n’est pas euthanasié. L’animal est identifié, vacciné, stérilisé et puis proposé à l’adoption.
Lorsqu’un chaton arrive très jeune, il est pris en charge par nos bénévoles qui le nourrissent au biberon dans certains cas.
Mettre tout en œuvre pour trouver une famille et par conséquent limiter le temps en chatterie. (Portes ouvertes, photos et vidéos sur réseaux sociaux, site internet 2nde chance, etc)
Informer les adoptants des antécédents des animaux lorsqu’ils sont connus et les accompagner avant/pendant/ après l’adoption. ( livret d’accueil, etc).
Nous nous gardons le droit de nous opposer à une adoption si nous estimons que le profil de l’adoptant ne correspond pas aux besoins de l’animal.
Prendre en compte les remarques des visiteurs et bénévoles pour faire évoluer le refuge.
Être transparent dans la gestion financière du refuge :
l’assemblée générale (ouverte à tous les adhérents et même au nom adhérent) fait le point sur les comptes du refuge. De plus, sur la page Facebook, les factures sont publiées, les adoptions et les prises en charges sont annoncées.
